Conseil municipal du 28 septembre 2018

Ce conseil municipal de rentrée a été l’occasion de débattre de nombreux sujets. La ville s’est inscrite au plan national Coeur de ville, mais qui va moins loin que ce que nous avions acté en 2014. Comme d’habitude, le Front National a demandé plus de police muncipale, et armée, ce à quoi le maire David Samzun a répondu qu’il n’était pas dans le rôle d’une municipalité de remplacer la police nationale. Mais à la différence du maire, les écologistes sont en désaccord avec l’équipement en taser de la police municipale.

Un plan d’accueil des gens du voyage a été adopté, avec cependant des réserves car les types d’habitation ne sont pas adaptés à la demande. Au contraire, Saint-Nazaire propose des terrains familiaux, où les familles peuvent habiter à l’année en caravane, ce qui correspond à une demande sur notre territoire. Les différentes formes d’habitat sont une reconnaissance de la loi ALUR, portée par Cécile Duflot lorsqu’elle était ministre du logement.

Pascale Hameau a ensuite présenté une délibération sur des économies d’eau réalisées dans des bâtiments municipaux (écoles et gymnase). La première phase de test s’est terminée, et les équipements qui permettent de réduire considérablement les débits d’eau, seront installés dans toutes les écoles d’ici fin 2019.

Par la suite, lors d’une délibération sur le comité de suivi de la qualité de l’air auprès de l’entreprise Stelia, Pascale Hameau a souligné le rôle qu’a eu la ville, et le vide juridique qui fait que nous sommes dans une impasse.

Le maire est intervenu lors de la présentation du plan santé pour protester contre les arriérés de la taxe d’habitation qui sont réclamés à l’hôpital de Saint-Nazaire.

Enfin, lors des interventions politiques de fin de conseil municipal, Fabrice Bazin est intervenu au nom de la majorité municipale au sujet des migrant.es du square Daviais et de l’Aquarius. Patrice Bulting est également intervenu en soutien à Presse-Océan.

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